Un instant de vie... et le moment aussi de faire un bilan.

octobre 2021

J’ai débuté ma carrière en tant qu’avocate en droit social. Après plusieurs années de collaboration, il m’a paru nécessaire de connaître l’entreprise de l’intérieur, cette fois-ci! J’ai donc repris le chemin de la fac à 33 ans pour y effectuer un M2 en Management Stratégique des RH à Université Paris Dauphine- PSL. En parallèle, je travaillais en alternance chez Saint-Gobain sur une gestion de projet en tant que chargée de Relations Sociales/RRH. Cette expérience a été fort constructive et enrichissante. J’ai pu travailler en direct avec les directeurs de site, les DAF, le DRH et les RRH de l’entreprise. Chacun apportait sa pierre à l’édifice et nous avancions tous dans le même sens. 

Ce passage en entreprise m’a permis d’avoir une approche pratique et concrète du droit social. J’ai tenté de trouver ma place sur un poste plus classique de juriste en droit social. Mais, l’appel de la « robe » a été plus fort que tout… J’ai alors compris que mon goût du droit et mon esprit entrepreunarial comptaient pour beaucoup. Le 1er avril 2017 (et ce n’est pas un poisson!), je créais mon cabinet d’avocat AC LEGAL AVOCAT, et comme j’aime les challenges, j’étais enceinte le 26 mars de la même année. Avec opiniâtreté et liberté d’action, j’ai développé mon réseau, ma clientèle et des partenariats. La vie d’une avocate n’est pas de tout repos… Mais ce qui me motive chaque jour, c’est d’aider et de soutenir mon client dans les bons comme dans les mauvais moments, d’être une épaule sur laquelle il peut se reposer pour continuer à faire grandir ses équipes et à développer son entreprise. Je lui assure tranquillité d’esprit et disponibilité. Je lui garantis de prendre son dossier à bras le corps et de le défendre coûte que coûte avec ténacité et conviction. A 40 ans, je peux dire que j’ai trouvé ma place.

Avocate fondatrice du Cabinet AC LEGAL AVOCAT, j’interviens au côté des chefs d’entreprise de TPE, PME et ETI. Je leur assure tranquillité d’esprit et sérénité pour atteindre en toute confiance leurs objectifs de croissance. Une fois la pression allégée, ils peuvent ainsi se concentrer sur ce qu’ils savent faire de mieux, leur activité. 

Claire Abate